Adeline Sublet

Cabinet de psychothérapie
Gard & Vaucluse

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- Adeline Sublet - 06 83 49 22 13

PSYCHOTHÉRAPIE, PSYCHANALYSE

  • Psychanalyste, membre de la FFDP
  • Sexothérapeute
  • Didacticienne (suivi psychanalytique des élèves analystes)
  • Formatrice aux Instituts Freudiens de Psychanalyse

  • Accueil individuel - adultes, ado, enfants
  • Accueil en couple


En Institution/ Association

  • Analyse des pratiques professionnelles (traditionnelles ou en mouvement)
  • Formations (petite enfance, traumatisme, psychopathologie...)

TARIFS
Le tarif est convenu ensemble lors de notre première rencontre.
Pour plus d’information, prendre rendez-vous au 06 83 49 22 13
ou par le formulaire contact en bas de la page.


ACTUALITÉS
Septembre 2024

C’est la rentrée pour les élèves analystes aussi !

L’Institut freudien de Psychanalyse d’Avignon vous accueille :
1re année le mercredi 16 octobre de 18h à 20h
2e et 3e année le samedi 14 septembre

Plus de renseignements par téléphone 06 83 49 22 13 ou par mail adeline.sublet gmail.com !


Liens

www.formation-psy-vaucluse-84.fr
www.psychanalyse.fr
www.pole-sante-bien-etre-quissac.fr
www.onsexprime.fr
www.sos-homophobie.org

Questions courantes


Un coup de main {JPEG}

« Je crois que… j’ai besoin d’un psy… ?! » A. 27ans

  • Reconnaître qu’une aide extérieure professionnelle peut élargir nos perspectives c’est déjà beaucoup. C’est un premier pas, probablement le plus difficile, après la prise de conscience que trop de choses dans nos vies ne nous conviennent pas et qu’elles pourraient être mieux.
  • Comment parvenir à faire le tri dans « tout ça » ? Qui suis-je ? Que se passe-t-il pour me sentir si mal ? Pourquoi ça m’arrive à moi ? Pourquoi personne ne me comprend vraiment ? …
  • L’intervention d’une aide extérieure est comme une main qui se tend et que l’on peut choisir de saisir ou non.

« Est-ce-que ça vous gratouille ou est-ce que ça vous chatouille ? » Dr Knock {JPEG}

« Si je vois un psy, c’est que je suis fou/folle ? » S. 72ans

  • On a une image très négative des fous en hôpital psychiatrique : des hurluberlus dangereux incontrôlables qu’on a bien raison d’enfermer ! Ce préjugé fait beaucoup de mal à l’univers psy.
  • En effet, se rendre compte qu’on est en mal être et décider d’y remédier, voilà bien une attitude qui est à l’opposé de la folie.
  • Et puis soyons honnêtes, ces petits grains de folie ne nous rendent-ils pas la vie plus belle et surprenante ?

Chez son psy tout peut être abordé sans tabou ni retenue. {JPEG}

« C’est quoi ton job ? » T. 10ans

  • C’est mettre des mots sur des émotions, des expériences, des pensées…
  • Quand on a mal, il s’agit d’abord de cibler où se situe la douleur. Chez un médecin, c’est facile, on a appris très jeune à définir le lieu de souffrance, par exemple, le ventre, la tête, le pied… Mais chez le psy, c’est moins facile, parce que personne ne nous a appris à reconnaître nos émotions et à les mettre en lien avec des pensées ou avec le corps. Souffrir de ses émotions devient dès lors pesant et angoissant. Ne pas identifier le mal être et le subir coûte beaucoup d’énergie et peut parfois même devenir une souffrance psychique chronique. Le psy serait donc un peu comme un·e infirmier·ère, le psy soignant l’esprit, l’infirmier·ère soignant le corps.
  • Ainsi le job du psy c’est d’accompagner chaque personne qui le souhaite, à mettre en mots ce qui fait mal, ce qui ronge à l’intérieur du cœur et de la tête en utilisant des techniques qui lui sont propres.

Parmi toutes ces étoiles, il y en a avec lesquelles je peux m'éclairer ! {JPEG}

« Comment choisir son psy ? » L. 43ans

  • On peut, par exemple, demander à son médecin traitant s’il connaît un thérapeute de confiance. Trouver « son » psy peut être parfois difficile. Il s’agit de ne pas se décourager, car quand on a besoin d’un coup de pouce l’enjeu peut être parfois très important, voire vital. S’écouter et être bien écouté est la clé. Rien n’oblige de rester avec un thérapeute qui ne nous met pas à l’aise et avec qui on ne se sent pas libre d’être soi.
  • L’espace de la thérapie est un espace de grande liberté, où tout peut être dit. Le patient est libre d’interrompre sa thérapie quand il le souhaite. Le contrat implicite qui le lie à son thérapeute l’engage pour une durée que lui seul établit et réajuste en temps réel. Le psy propose, il n’impose jamais rien, le patient étant acteur de sa thérapie.

Le temps n'est pas le même pour tous, il est tout relatif {JPEG}

« Et ça va être long ? » V. 22ans

  • Aïe aïe aïe ! Difficile de répondre… Des fois oui, des fois non ?!
  • Quand on commence à faire de la place à ses émotions, à ses expériences, à son histoire, ou encore à prendre du recul, le temps devient tout relatif. Chaque personne est différente et a une temporalité qui lui est propre. Il s’agit d’être bienveillant vis-à-vis de soi en s’accordant le temps nécessaire à l’introspection.

Freud croqué par Dalî {JPEG}

« Et plus spécifiquement, c’est quoi la psychanalyse ? » G. 62ans

  • C’est une technique qui redonne de la place à l’individu dans sa totalité et plus particulièrement à l’inconscient. La société nous impose de nombreux comportements auxquels on tente de se plier. Les efforts que nous fournissons pour y parvenir sont parfois très importants et nous laissent peu de temps pour laisser libre court à nos envies ou nos désirs profonds et souvent inavoués/inavouables.
  • Ces parties de nous réprimées tentent de se faire entendre mais nous avons appris à ne pas les écouter. Leur redonner place, prendre le temps de les accueillir, prendre le temps de s’écouter, n’est pas une preuve d’égoïsme mais d’intelligence. Faire un retour sur soi est un voyage qui peut mener loin ! Et c’est bien cela qui nous retient souvent de commencer un travail sur soi… « Où cela va-t-il me mener ? » Ça fait peur, parce que l’inconnu fait peur. Mais peut-être est-il venu le temps de ne plus avoir peur de soi ?

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